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Dossier : voici comment les politiques envisagent la mobilité (après le 9 juin)

Le 9 juin, on se rendra tous au bureau de vote afin de choisir ceux qui donneront le meilleur d'eux-mêmes au cours des quatre prochaines années aux niveaux wallon, fédéral et européen. Les thèmes, les analyses, les tests de vote et les débats ont sans doute déjà fait le tour de vos oreilles. Pourtant, il y a de fortes chances que vous n'ayez aucune idée de ce que les partis politiques wallons pensent de la mobilité. C'est pourquoi Autofans, stylo en main, s'est rendu dans les bureaux des partis politiques pour obtenir des réponses à certaines questions urgentes sur la mobilité.

Poutine a la mainmise sur Renault

Revenons en 2007. Poutine était à la tête de la Russie (bien sûr) et Carlos Ghosn tenait toujours fermement les rênes de l'alliance Renault-Nissan. Plus que ça, Ghosn rêvait d'un gigantesque consortium. Ce qui signifie qu'il cherchait de nouvelles marques de voitures. Dacia était déjà dans le portefeuille, Mitsubishi était sur la liste des souhaits mais il fallait d'abord passer par le russe AvtoVAZ, le groupe derrière Lada. Un accord d'un milliard d'euros a été conclu entre Poutine, Ghosn et - parce qu'il était actionnaire de Renault - le gouvernement français.

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