La société britannique Caterham souhaite également contribuer à la protection de l'environnement. En fait, elle le fait déjà, car les voitures de sport qu'elle vend actuellement ont moins de pièces que le phare avant droit d'un BMW X5 et un poids incroyablement faible. Alors, Caterham peut-il vendre une voiture électrique ? Si elle ressemble à la Project V, on pense que oui !
Caterham EV Seven : l’électrique de moins de 700 kg (2023)
Si l'on consulte le catalogue de Caterham, on constate à première vue qu'il s'agit plusieurs fois de la même voiture. En fait, les Britanniques construisent depuis des années des variantes de la Seven, mais avec des moteurs différents à l'avant. Cela va d'un petit moteur de moto de 660 cm3 à un bloc Ford 2,0 litres de 310 ch, mais toutes les variantes, combinées au poids léger de la Seven, sont très agréables à conduire. Et il devrait continuer à en être ainsi lorsque la marque passera à l'électrique.
Officiel : Caterham Super Seven 600 et 2000, le retour du rétro (2022)
Caterham est à la veille de son 50e anniversaire en 2023. Pour réchauffer la fête, elle lance deux nouveaux modèles "Heritage". Les Super Seven 600 et Super Seven 2000 présentent des caractéristiques de stylistiques d'une époque révolue associées à une technologie moderne.
Officiel : Caterham Seven 170, petit jouet pour les grands
Depuis des décennies, Caterham, et Lotus avant, construisent sous le nom de Seven les voitures de sport les plus anciennes du marché. Contrairement à de nombreux autres constructeurs, Caterham ne recherche pas la plus grande puissance possible, mais la simplicité et la maniabilité. Le dernier né de la gamme Seven présente un châssis plus étroit, plus léger et le moteur le plus petit de la gamme.
Caterham passe aux mains japonaises
Les pourparlers étaient en cours depuis un certain temps et ils ont été finalisés à la fin du mois dernier. Les hommes d'affaires malaysiens Tony Fernandes et Kamarudin Meranun ont vendu les droits de propriété de Caterham Cars à la société japonaise VT Holdings. L'ancien patron de Lotus F1, Fernandes, avait acheté la marque de voitures de sport britannique en 2011.