Le francophile amateur de voitures aura remarqué quelque chose d'assez intéressant lors de la fête nationale française, le 14 juillet. Comme d'habitude, le président Macron a été amené sur le lieu des festivités dans une DS 7 rallongée, mais il s'est avéré qu'il s'agissait de la version facelifted... qui avait été présentée officiellement seulement deux semaines plus tôt.
Faites-en ce que vous voulez, mais Emmanuel Macron a déjà eu quelques DS 7 à son actif. Lors de sa première élection, en 2017, il a immédiatement choisi une DS 7 Crossback. En 2021, il l'a échangée contre une jolie voiture écologique dotée d'un groupe motopropulseur hybride rechargeable, car même le président français n'a pas pu en obtenir une avant. Cette fois, cependant, ils semblent avoir fait une exception chez DS, puisque Macron apparaît soudainement lors de ces célébrations dans un modèle facelifté, deux semaines à peine après que cette voiture ait été montrée à la presse. Pas d'inquiétude sur les délais de livraison pour la royauté, semble-t-il.
Un coup de pub ?
Nous n'avons pas beaucoup d'informations officielles sur la voiture en question, et nous ne savons pas encore si elle appartient réellement à l'État français ou si elle a été empruntée à Stellantis pour sa promotion. Si tel est le cas, DS n'a pas lésiné sur les moyens pour mettre en scène son nouveau SUV. D'après les proportions, on peut voir que ce modèle a également un empattement allongé, tout comme la DS du service officiel que nous avons vue l'année dernière. En outre, la voiture est montée sur un bel ensemble de jantes brillantes de 20 pouces, et elle a été équipée des drapeaux et logos nécessaires; qui font référence à la République. Nous parions nos croissants que la voiture restera dans la flotte du Président.
Le fait que Macron apparaisse avec un nouvel exemplaire de la DS 7 alors qu'elle est encore loin d'être commercialisée n'est pas la seule chose inhabituelle. Le fait qu'il opte à nouveau pour le SUV est également assez remarquable. DS a également la 9 dans sa gamme et, en tant que berline de luxe, elle semble plus adaptée au transport présidentiel qu'à un SUV de segment C étiré. Mais quoi qu'il en soit, Macron n'est pas le premier président français à avoir une préférence un peu particulière pour les voitures.
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