Lotus renonce à ces ambitions électriques et revient aux moteur essence

La Lotus d'aujourd'hui n'est pas la Lotus d'antan, qu'on se le dise. La marque ne construisait que des voitures de sport légères à moteur à combustion, par exemple, mais lors de la présentation de l'Emira, elle a clairement indiqué que ce modèle serait le dernier de ce type. À la place, Lotus n'allait désormais dévoiler que des électriques où il y avait également de la place pour une berline ou un SUV occasionnel en plus des voitures de sport habituelles. Mais aujourd'hui, cette attente est quelque peu révisée…

1 100 kilomètres d'autonomie !

Alors qu'il discutait de ses chiffres trimestriels, le PDG de Lotus, le Britannique Qingfeng Feng, de toute évidence primitif, a envoyé une nouvelle percutante au monde entier. Il y a révélé les premiers détails d'un nouveau groupe motopropulseur « Hyper Hybrid » qui - oui - utilisera à nouveau un moteur à combustion interne. Comme son nom l'indique, ce moteur à combustion ne restera pas seul puisqu'il sera rejoint par l'électrification nécessaire. Toutefois, il devrait être possible de désactiver cette électrification dans certains modes de conduite pour rouler entièrement à la combustion. Si les deux fonctionnent de manière optimale, Lotus promet une autonomie de 1 100 kilomètres !

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Lotus n'a pas encore révélé dans quels modèles nous pouvons nous attendre à voir ce groupe motopropulseur Hyper Hybrid. Cependant, dans le même paragraphe, ils mentionnent le concept car Theory 1 d'il y a quelques mois, ce qui nous fait déjà espérer une sorte de voiture de sport. Quoi qu'il en soit, il y a fort à parier que la marque ne fait pas cela pour plaire aux puristes de son public. Après tout, bien qu'elle ait réussi à présenter des chiffres de croissance positifs lors de la revue trimestrielle, même chez Lotus, on ne peut ignorer la stagnation de la demande pour les électriques. En période d'incertitude, il n'est donc pas inutile d'avoir des alternatives derrière soi, comme les motorisations hybrides.