Soyons clairs : le break est en perte de vitesse depuis des années. Mais il y a de l'espoir, car outre les breaks électriques, les breaks sportifs font leur apparition. Il suffit de regarder du côté de BMW, qui propose aujourd'hui la toute première M3 Touring, qui vient d'être rejointe par une toute nouvelle M5 Touring. Cependant, ces deux modèles sont extrêmement chers.

C'est l'heure du Touring chez BMW, et pas qu'un peu. La M3 est en déclinée break pour la première fois, et depuis lors, Munich a également introduit son tout premier break purement électrique : le i5 Touring. Bien sûr, ce n'est pas une surprise puisqu'elle partage sa carrosserie avec la nouvelle Série 5 Touring... Alors pourquoi ne pas étendre cette ligne à tous les modèles dont le nom contient un 5 ?

Audi se débarrasse aujourd'hui de l'un de ses noms les plus emblématiques : l'A4. Enfin, plus ou moins. En effet, cette A4 reçoit une suite purement électrique tandis que son successeur à moteur à combustion portera désormais le nom d'A5. L'A5 n'est donc plus un coupé ou un cabriolet, mais seulement une berline et un break. C’est donc pareil pour la nouvelle Audi S5.

Préparez-vous à une dose de confusion, signée Audi. En effet, Ingolstadt bouleverse l'ensemble de son système de dénomination dans le but de créer une distinction plus claire entre ses électriques et ses modèles à moteur à combustion. Ainsi, tous les chiffres pairs après A-, Q-, S- ou RS- seront désormais synonymes de véhicules électriques - pensez aux Q4 et Q6 e-tron ou à la future A6 e-tron - tandis que les chiffres impairs seront tous dotés de moteurs à combustion. Il faudra d'ailleurs procéder à quelques ajustements, semble-t-il.

Vous pouvez y penser autant que vous voulez, mais Audi a adopté une nouvelle stratégie en matière de nomenclature. Désormais, tous les chiffres pairs après le A ou le Q désigneront les voitures purement électriques, tandis que les chiffres impairs seront réservés aux modèles dotés d'un moteur à combustion. Cela semble assez simple, mais accrochez-vous bien, car cela entraîne des changements importants dans la gamme. Par exemple, le "4" est pair, mais la prochaine A4 ne sera pas disponible qu'en version électrique ?

Commençons tout de suite par l'atout le plus important de cette nouvelle Superb Combi : l’habitabilité. La précédente était déjà connue pour son habitacle gigantesque, cette 4ème génération fait encore mieux. Le break s'est allongé de 4 cm (4,9 mètres au total) et c'est surtout le coffre qui en profite. Hayon ouvert, on découvre un coffre plat, qui a également gagné 30 litres pour atteindre 690 litres et même 1 920 litres lorsque la banquette arrière est rabattue. Il faut presque des jumelles pour voir tout le coffre, tant la Superb Combi est grande.

Oubliez tout ce que vous pensiez savoir sur la famille ID de Volkswagen. Car le nouveau venu ID.7 redresse ce qui était quelque peu bancal auparavant (désolé, ID.3 et ID.4). La Berline a réussi à nous convaincre complètement lors du premier essai... et la version break " Tourer " devrait faire encore mieux !

Croyez-le ou non, mais il y a encore de l'espoir pour le break. En effet, alors que de nombreux modèles essence et diesel abandonnent ce style de carrosserie, le nombre de breaks électriques augmente sensiblement. La raison n'est pas difficile à trouver : un break est au moins aussi spacieux qu'un SUV mais, dans la plupart des cas, il est plus aérodynamique ! Et chez Volkswagen, on sait aussi que la résistance à l'air est un élément important chez les électriques…

Lorsque Skoda a annoncé qu'elle allait rafraîchir son Octavia, nous nous sommes quelque peu retenus. Après tout, le facelift de la génération précédente avait vu tout le nez remonter, les phares étant coupés en deux avec un certain goût. Une fois de plus, les Tchèques ont laissé entendre dès les premiers teasers que l'Octavia aurait droit à de nouveaux feux, mais cette fois-ci, les changements sont de nature plus modeste.

La Mercedes Classe E est une véritable icône, cela ne fait aucun doute. Par exemple, son pedigree sous différents noms remonte secrètement à l'année 1946, ce qui en fait d'emblée le modèle le plus ancien de l'histoire de Mercedes-Benz. Il est donc presque impossible de compter le nombre de générations que les Allemands ont déjà fait de leur berline segment E, mais une chose est sûre : il n'y en a jamais eu de mauvaises. Et il est clair qu'à Stuttgart, on prend cet héritage très au sérieux…